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Le nounours du net
27 octobre 2016

Jamais deux sans trois

Tous mes sens sont émus d'une volupté douce et pure, comme l'haleine du matin dans cette saison délicieuse. Seul, au milieu d'une contrée qui semble fait exprès pour un coeur tel que mien, j'y goûte à longs traits l'ivresse de la vie. Je suis si heureux, mon ami, si absorbé dans le sentiment de ma paisible existence, que mon art en souffre. Incapable de dessiner le mointre trait, la plus faible ébauche, jamais pourtant je ne fus si grand peintre. Quand mon vallon chéri se couvre autour de moi d'une légère vapeur; qu'au-dessus de ma tête le soleil de midi darde ses rayons embrasés sur la sombre voûte de mon bois, au fond duquel, comme d'un sanctuaire, il introduit à peine une tremblante lumière; qu'étendu sur le gazon touffu, à la chute d'un ruisseau, je découvre avec ravissement une multitude de plantes, de fleurs d'une délicatesse infinie; que je vois s'agiter entre les brins d'herbe des milliers de vermisseaux, d'insectes, de moucherons, aux formes variées et innombrables; que j'entends résonner à mon oreille le murmure confus de ce petit monde; quand l'auguste présence de l'Être tout-puissant qui créa l'homme à son image, le souffle vivifiant du Dieu d'amour et de bonté qui nous porte et nous soutient sur un océan de délices éternels, me pénètrent de toutes parts, et que le ciel et la terre se réfléchissent dans mon âme sous le traits d'une amante adorée, alors je soupire et me dis: Oh! que ne puis-je exprimer ce que je sens si vivement! Ces émotions brûlantes, que ne m'est-il donné de les peindre en traits de flamme! Mais - mon ami - les forces me manquent; je succombe sous la grandeur, sous la majesté de ces sublimes merveilles! Tous mes sens sont émus d'une volupté douce et pure, comme l'haleine du matin dans cette saison délicieuse. Seul, au milieu d'une contrée qui semble fait exprès pour un coeur tel que mien, j'y goûte à longs traits l'ivresse de la vie. Je suis si heureux, mon ami, si absorbé dans le sentiment de ma paisible existence, que mon art en souffre. Incapable de dessiner le mointre trait, la plus faible ébauche, jamais pourtant je ne fus si grand peintre. Quand mon vallon chéri se couvre autour de moi d'une légère vapeur; qu'au-dessus de ma tête le soleil de midi darde ses rayons embrasés sur la sombre voûte de mon bois, au fond duquel, comme d'un sanctuaire, il introduit à peine une tremblante lumière; qu'étendu sur le gazon touffu, à la chute d'un ruisseau, je découvre avec ravissement une multitude de plantes, de fleurs d'une délicatesse infinie; que je vois s'agiter entre les brins d'herbe des milliers de vermisseaux, d'insectes, de moucherons, aux formes variées et innombrables; que j'entends résonner à mon oreille le murmure confus de ce petit monde; quand l'auguste présence de l'Être tout-puissant qui créa l'homme à son image, le souffle vivifiant du Dieu d'amour et de bonté qui nous porte et nous soutient sur un océan de délices éternels, me pénètrent de toutes parts, et que le ciel et la terre se réfléchissent dans mon âme sous le traits d'une amante adorée, alors je soupire et me dis: Oh! que ne puis-je exprimer ce que je sens si vivement! Ces émotions brûlantes, que ne m'est-il donné de les peindre en traits de flamme! Mais - mon ami - les forces me manquent; je succombe sous la grandeur, sous la majesté de ces sublimes merveilles! Tous mes sens sont émus d'une volupté douce et pure, comme l'haleine du matin dans cette saison délicieuse. Seul, au milieu d'une contrée qui semble fait exprès pour un coeur tel que mien, j'y goûte à longs traits l'ivresse de la vie. Je suis si heureux, mon ami, si absorbé dans le sentiment de ma paisible existence, que mon art en souffre. Incapable de dessiner le mointre trait, la plus faible ébauche, jamais pourtant je ne fus si grand peintre. Quand mon vallon chéri se couvre autour de moi d'une légère vapeur; qu'au-dessus de ma tête le soleil de midi darde ses rayons embrasés sur la sombre voûte de mon bois, au fond duquel, comme d'un sanctuaire, il introduit à peine une tremblante lumière; qu'étendu sur le gazon touffu, à la chute d'un ruisseau, je découvre avec ravissement une multitude de plantes, de fleurs d'une délicatesse infinie; que je vois s'agiter entre les brins d'herbe des milliers de vermisseaux, d'insectes, de moucherons, aux formes variées et innombrables; que j'entends résonner à mon oreille le murmure confus de ce petit monde; quand l'auguste présence de l'Être tout-puissant qui créa l'homme à son image, le souffle vivifiant du Dieu d'amour et de bonté qui nous porte et nous soutient sur un océan de délices éternels, me pénètrent de toutes parts, et que le ciel et la terre se réfléchissent dans mon âme sous le traits d'une amante adorée, alors je soupire et me dis: Oh! que ne puis-je exprimer ce que je sens si vivement! Ces émotions brûlantes, que ne m'est-il donné de les peindre en traits de flamme! Mais - mon ami - les forces me manquent; je succombe sous la grandeur, sous la majesté de ces sublimes merveilles!Tous mes sens sont émus d'une volupté douce et pure, comme l'haleine du matin dans cette saison délicieuse. Seul, au milieu d'une contrée qui semble fait exprès pour un coeur tel que mien, j'y goûte à longs traits l'ivresse de la vie. Je suis si heureux, mon ami, si absorbé dans le sentiment de ma paisible existence, que mon art en souffre. Incapable de dessiner le mointre trait, la plus faible ébauche, jamais pourtant je ne fus si grand peintre. Quand mon vallon chéri se couvre autour de moi d'une légère vapeur; qu'au-dessus de ma tête le soleil de midi darde ses rayons embrasés sur la sombre voûte de mon bois, au fond duquel, comme d'un sanctuaire, il introduit à peine une tremblante lumière; qu'étendu sur le gazon touffu, à la chute d'un ruisseau, je découvre

La bande-annonce - Palmashow

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27 octobre 2016

un tiens vaut mieux que deux tu l'auras

Voyez ce jeu exquis wallon, de graphie en kit mais bref. Portez ce vieux whisky au juge blond qui fume sur son île intérieure, à côté de l'alcôve ovoïde, où les bûches se consument dans l'âtre, ce qui lui permet de penser à la cænogenèse de l'être dont il est question dans la cause ambiguë entendue à Moÿ, dans un capharnaüm qui, pense-t-il, diminue çà et là la qualité de son œuvre. Prouvez, beau juge, que le fameux sandwich au yak tue. L'île exiguë, Où l'obèse jury mûr Fête l'haï volapük, Âne ex æquo au whist, Ôtez ce vœu déçu. Vieux pelage que je modifie : breitschwanz ou yak ? Dès Noël où un zéphyr haï me vêt de glaçons würmiens, je dîne d’exquis rôtis de bœuf au kir à l’aÿ d’âge mûr & cætera ! Fougueux, j'enivre la squaw au pack de beau zythum. Ketch, yawl, jonque flambant neuve… jugez des prix ! Voyez le brick géant que j'examine près du wharf. Portez ce vieux whisky au juge blond qui fume. Bâchez la queue du wagon-taxi avec les pyjamas du fakir. Voix ambiguë d'un cœur qui, au zéphyr, préfère les jattes de kiwis. Mon pauvre zébu ankylosé choque deux fois ton wagon jaune. Perchez dix, vingt woks. Qu'y flambé-je ? Le moujik équipé de faux breitschwanz voyage. Kiwi fade, aptéryx, quel jambon vous gâchez ! Jugez qu'un vieux whisky blond pur malt fonce. Faux kwachas ? Quel projet de voyage zambien ! Fripon, mixez l'abject whisky qui vidange. Vif juge, trempez ce blond whisky aqueux. Vif P-DG mentor, exhibez la squaw jockey. Juge, flambez l'exquis patchwork d'Yvon. Voyez ce jeu exquis wallon, de graphie en kit mais bref. Portez ce vieux whisky au juge blond qui fume sur son île intérieure, à côté de l'alcôve ovoïde, où les bûches se consument dans l'âtre, ce qui lui permet de penser à la cænogenèse de l'être dont il est question dans la cause ambiguë entendue à Moÿ, dans un capharnaüm qui, pense-t-il, diminue çà et là la qualité de son œuvre. Prouvez, beau juge, que le fameux sandwich au yak tue. L'île exiguë, Où l'obèse jury mûr Fête l'haï volapük, Âne ex æquo au whist, Ôtez ce vœu déçu. Vieux pelage que je modifie : breitschwanz ou yak ? Dès Noël où un zéphyr haï me vêt de glaçons würmiens, je dîne d’exquis rôtis de bœuf au kir à l’aÿ d’âge mûr & cætera ! Fougueux, j'enivre la squaw au pack de beau zythum. Ketch, yawl, jonque flambant neuve… jugez des prix ! Voyez le brick géant que j'examine près du wharf. Portez ce vieux whisky au juge blond qui fume. Bâchez la queue du wagon-taxi avec les pyjamas du fakir. Voix ambiguë d'un cœur qui, au zéphyr, préfère les jattes de kiwis. Mon pauvre zébu ankylosé choque deux fois ton wagon jaune. Perchez dix, vingt woks. Qu'y flambé-je ? Le moujik équipé de faux breitschwanz voyage. Kiwi fade, aptéryx, quel jambon vous gâchez ! Jugez qu'un vieux whisky blond pur malt fonce. Faux kwachas ? Quel projet de voyage zambien ! Fripon, mixez l'abject whisky qui vidange. Vif juge, trempez ce blond whisky aqueux. Vif P-DG mentor, exhibez la squaw jockey. Juge, flambez l'exquis patchwork d'Yvon. Voyez ce jeu exquis wallon, de graphie en kit mais bref. Portez ce vieux whisky au juge blond qui fume sur son île intérieure, à côté de l'alcôve ovoïde, où les bûches se consument dans l'âtre, ce qui lui permet de penser à la cænogenèse de l'être dont il est question dans la cause ambiguë entendue à Moÿ, dans un capharnaüm qui, pense-t-il, diminue çà et là la qualité de son œuvre. Prouvez, beau juge, que le fameux sandwich au yak tue. L'île exiguë, Où l'obèse jury mûr Fête l'haï volapük, Âne ex æquo au whist, Ôtez ce vœu déçu. Vieux pelage que je modifie : breitschwanz ou yak ? Dès Noël où un zéphyr haï me vêt de glaçons würmiens, je dîne d’exquis rôtis de bœuf au kir à l’aÿ d’âge mûr & cætera ! Fougueux, j'enivre la squaw au pack de beau zythum. Ketch, yawl, jonque flambant neuve… jugez des prix ! Voyez le brick géant que j'examine près du wharf. Portez ce vieux whisky au juge blond qui fume. Bâchez la queue du wagon-taxi avec les pyjamas du fakir. Voix ambiguë d'un cœur qui, au zéphyr, préfère les jattes de kiwis. Mon pauvre zébu ankylosé choque deux fois ton wagon jaune. Perchez dix, vingt woks. Qu'y flambé-je ? Le moujik équipé de faux breitschwanz voyage. Kiwi fade, aptéryx, quel jambon vous gâchez ! Jugez qu'un vieux whisky blond pur malt fonce. Faux kwachas ? Quel projet de voyage zambien ! Fripon, mixez l'abject whisky qui vidange. Vif juge, trempez ce blond whisky aqueux. Vif P-DG mentor, exhibez la squaw jockey. Juge, flambez l'exquis patchwork d'Yvon.Voyez ce jeu exquis wallon, de graphie en kit mais bref. Portez ce vieux whisky au juge blond qui fume sur son île intérieure, à côté de l'alcôve ovoïde, où les bûches se consument dans l'âtre, ce qui lui permet de penser à la cænogenèse de l'être dont il est question dans la cause ambiguë entendue à Moÿ, dans un capharnaüm qui, pense-t-il, diminue çà et là la qualité de son œuvre. Prouvez, beau juge, que le fameux sandwich au yak tue. L'île exiguë, Où l'obèse jury mûr Fête l'haï volapük, Âne ex æquo au whist, Ôtez ce vœu déçu. Vieux pelage que je modifie : breitschwanz ou yak ? Dès Noël où un zéphyr haï me vêt de glaçons würmiens, je dîne d’exquis rôtis de bœuf au kir à l’aÿ d’âge mûr & cætera ! Fougueux, j'enivre la squaw au pack de beau zythum. Ketch, yawl, jonque flambant neuve… jugez des prix ! Voyez le brick géant que j'examine près du wharf. Portez ce vieux whisky au juge blond qui fume. Bâchez la queue du wagon-taxi avec les pyjamas du fakir. Voix ambiguë d'un cœur qui, au zéphyr, préfère les jattes de kiwis. Mon pauvre

27 octobre 2016

Un début a tout

Loin, très loin, au delà des monts Mots, à mille lieues des pays Voyellie et Consonnia, demeurent les Bolos Bolos. Ils vivent en retrait, à Bourg-en-Lettres, sur les côtes de la Sémantique, un vaste océan de langues. Un petit ruisseau, du nom de Larousse, coule en leur lieu et les approvisionne en règlalades nécessaires en tout genre; un pays paradisiagmatique, dans lequel des pans entiers de phrases prémâchées vous volent litéralement tout cuit dans la bouche. Pas même la toute puissante Ponctuation ne régit les Bolos Bolos - une vie on ne peut moins orthodoxographique. Un jour pourtant, une petite ligne de Bolo Bolo du nom de Lorem Ipsum décida de s'aventurer dans la vaste Grammaire. Le grand Oxymore voulut l'en dissuader, le prevenant que là-bas cela fourmillait de vils Virgulos, de sauvages Pointdexclamators et de sournois Semicolons qui l'attendraient pour sûr au prochain paragraphe, mais ces mots ne firent écho dans l'oreille du petit Bolo qui ne se laissa point déconcerter. Il pacqua ses 12 lettrines, glissa son initiale dans sa panse et se mit en route. Alors qu'il avait gravi les premiers flancs de la chaîne des monts Italiques, il jeta un dernier regard sur la skyline de Bourg-en-Lettres, sa ville alphanatale, la headline d'Alphabetville, la subline de sa propre rue, le passage Motus. Le coeur lourd et nostalgique, une question rhétorique lui coula le long de la joue, puis, il se remit en route. En chemin, il rencontra un Copy. Le Copy prévint le petit Bolo que là d'où il venait, il avait déjà maintes et maintes fois été ressaisi, et que tout ce qui désormais restait de leurs origines était le mot "et", et que le petit Bolo ferait bien de se raviser, rebrousser chemin et retourner en son sain et sauf bercail. Mais toutes bonnes paroles ne purent le convaincre et il ne s'en point fallut longtemps pour qu'un tas de fourbes Créas aux aguets l'interpelle, le saoule de vers et de vodkale, pour finir par le traîner dans leur agence, où ils le mésusèrent et l'instrumentalisèrent sans fin aux fins de leur projets. Et à moins que cette histoire ne fût réecrite depuis, c'est bien preuve qu'ils l'exploitent encore. Loin, très loin, au delà des monts Mots, à mille lieues des pays Voyellie et Consonnia, demeurent les Bolos Bolos. Ils vivent en retrait, à Bourg-en-Lettres, sur les côtes de la Sémantique, un vaste océan de langues. Un petit ruisseau, du nom de Larousse, coule en leur lieu et les approvisionne en règlalades nécessaires en tout genre; un pays paradisiagmatique, dans lequel des pans entiers de phrases prémâchées vous volent litéralement tout cuit dans la bouche. Pas même la toute puissante Ponctuation ne régit les Bolos Bolos - une vie on ne peut moins orthodoxographique. Un jour pourtant, une petite ligne de Bolo Bolo du nom de Lorem Ipsum décida de s'aventurer dans la vaste Grammaire. Le grand Oxymore voulut l'en dissuader, le prevenant que là-bas cela fourmillait de vils Virgulos, de sauvages Pointdexclamators et de sournois Semicolons qui l'attendraient pour sûr au prochain paragraphe, mais ces mots ne firent écho dans l'oreille du petit Bolo qui ne se laissa point déconcerter. Il pacqua ses 12 lettrines, glissa son initiale dans sa panse et se mit en route. Alors qu'il avait gravi les premiers flancs de la chaîne des monts Italiques, il jeta un dernier regard sur la skyline de Bourg-en-Lettres, sa ville alphanatale, la headline d'Alphabetville, la subline de sa propre rue, le passage Motus. Le coeur lourd et nostalgique, une question rhétorique lui coula le long de la joue, puis, il se remit en route. En chemin, il rencontra un Copy. Le Copy prévint le petit Bolo que là d'où il venait, il avait déjà maintes et maintes fois été ressaisi, et que tout ce qui désormais restait de leurs origines était le mot "et", et que le petit Bolo ferait bien de se raviser, rebrousser chemin et retourner en son sain et sauf bercail. Mais toutes bonnes paroles ne purent le convaincre et il ne s'en point fallut longtemps pour qu'un tas de fourbes Créas aux aguets l'interpelle, le saoule de vers et de vodkale, pour finir par le traîner dans leur agence, où ils le mésusèrent et l'instrumentalisèrent sans fin aux fins de leur projets. Et à moins que cette histoire ne fût réecrite depuis, c'est bien preuve qu'ils l'exploitent encore.Loin, très loin, au delà des monts Mots, à mille lieues des pays Voyellie et Consonnia, demeurent les Bolos Bolos. Ils vivent en retrait, à Bourg-en-Lettres, sur les côtes de la Sémantique, un vaste océan de langues. Un petit ruisseau, du nom de Larousse, coule en leur lieu et les approvisionne en règlalades nécessaires en tout genre; un pays paradisiagmatique, dans lequel des pans entiers de phrases prémâchées vous volent litéralement tout cuit dans la bouche. Pas même la toute puissante Ponctuation ne régit les Bolos Bolos - une vie on ne peut moins orthodoxographique. Un jour pourtant, une petite ligne de Bolo Bolo du nom de Lorem Ipsum décida de s'aventurer dans la vaste Grammaire. Le grand Oxymore voulut l'en dissuader, le prevenant que là-bas cela fourmillait de vils Virgulos, de sauvages Pointdexclamators et de sournois Semicolons qui l'attendraient pour sûr au prochain paragraphe, mais ces mots ne firent écho dans l'oreille du petit Bolo qui ne se laissa point déconcerter. Il pacqua ses 12 lettrines, glissa son initiale dans sa panse et se mit en route. Alors qu'il avait gravi les premiers flancs de la chaîne des monts Italiques, il jeta un dernier regard sur la skyline de Bourg-en-Lettres, sa ville alphanatale, la headline d'Alphabetville, la subline de sa propre rue, le passage Motus. Le coeur lourd et nostalgique, une question rhétorique lui coula le long de la joue, puis, il se remit en route. En chemin, il rencontra un Copy. Le Copy prévint le petit Bolo que là d'où il venait, il avait déjà maintes et maintes fois été ressaisi, et que tout ce qui désormais restait

Le nounours du net
  • Loin, très loin, au delà des monts Mots, à mille lieues des pays Voyellie et Consonnia, demeurent les Bolos Bolos. Ils vivent en retrait, à Bourg-en-Lettres, sur les côtes de la Sémantique, un vaste océan de langues. Un petit ruisseau, du nom de Laro
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